Portrait de Noam Zadi, étudiant et sportif de haut niveau

Portrait Noam Zadi

Noam Zadi, étudiant et sportif de haut niveau

Noam Zadi, champion universitaire en boxe française

Noam Zadi, étudiant en 2e année de Licence en Sciences de la vie au Mans, est aussi un champion prometteur en boxe française, catégorie – de 70 kg. Il a obtenu le titre de champion de France Universitaire 2024 et vise déjà à conserver ce titre l’an prochain.  

 

Ce jeune homme de 19 ans, à la fois réservé et souriant, trouve son équilibre entre ses études et sa vie de sportif de haut niveau.  

Noam s’entraîne 3 soirs par semaine, et une séance de course complète cette routine de grand sportif. Il n’en est pas moins étudiant et concilie très bien son emploi du temps à l’université et son temps de travail personnel avec ses impératifs sportifs. Il s’est orienté dans la filière Sciences de la vie par intérêt pour la biologie en lien avec le sport et envisage une passerelle vers le STAPS pour sa 3e année. 

Son investissement personnel porte ses fruits et les résultats sportifs sont là : 2e au Championnat de France Universitaire 2023 catégorie - de 70kg, il a finalement obtenu le titre de champion universitaire en 2024, et vise déjà le maintien l’an prochain.

Photo ci-contre, Noam à côté de son adversaire, accompagné de ses coachs Jacky Boisseleau et Laurent Brard à gauche.

 

Ce dimanche 21 avril, Noam disputait pour la première fois le championnat de France : une victoire et une défaite, il ne s’est pas qualifié pour les finales, mais ce n’est que partie remise… Il se réjouit tout de même d’avoir pu assister à des combats de haut niveau et surtout du titre de vice-champion de France catégorie – de 65 kg obtenu par son camarade Arthur Brard, issu du même club.

 

C’est un sport très motivant parce qu’il faut être à 100% sur le ring.

 

Originaire de Château-l'Hermitage, au Sud de la Sarthe, Noam s’essaie d’abord au Karaté dès l’âge de 6 ans. Puis à 11 ans, en regardant la télé, il découvre la boxe française, des combats avec les pieds et les poings, sport qui diffère de la boxe thaï notamment 

par les types et techniques de coups autorisés (par exemple les coups doivent être « armés », et sont interdits les coups portés avec les coudes, les genoux ou les tibias). Conquis, il veut absolument tester ce sport, d’autant que son papa est lui-même pratiquant et enseignant en boxe française. C’est donc tout naturellement que son père l’emmène à l’entraînement et l’initie à cette nouvelle discipline qui deviendra sa passion. 

 

 

Ce qui lui plaît dans ce sport c’est qu’il nécessite d’être pleinement concentré et motivé pour entrer sur le ring. Il souligne aussi l’importance à ses yeux de la convivialité de son club La Boxe Française Allonnaise et d’être bien soutenu et encouragé par ses coachs toute l’année et pendant les combats. 

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